J'ai invoqué ton nom, ô Eternel ! de la fosse des abîmes.

Tu as entendu ma voix... Tu t'es approché au jour où je t'ai invoqué ; tu as dit : Ne crains pas.

Lamentations de Jérémie 3.  55-57 

14 Avril 1912 : au cours de sa traversée inaugurale de l'Atlantique, le luxueux paquebot britannique le "Titanic" heurte un iceberg. Qualifié d'insubmersible, il va pourtant sombrer en moins de trois heures. Sur les 2200 passagers, seuls 700 environ survivront. Au milieu de l'effroi de l'équipage en quête de solutions, de la panique des passagers à la recherche des canots de sauvetage accessibles, l'attitude pleine de sang-froid et de noblesse des huit musiciens de l'orchestre est restée gravée dans la mémoire de nombreux survivants. Sous la direction de leur chef, Wallace Hartley, ils ont cessé de jouer lorsqu'il leur a été impossible de se tenir debout sur le bateau qui s'enfonçait dans les flots. Les huit musiciens ont péri. Le dernier morceau de musique joué était l'hymne très connu dans le monde anglo-saxon : "Nearer, my God, to Thee" (Mon Dieu, plus près de toi").

Le chef d'orchestre, chrétien convaincu, dont le corps a été retrouvé, aurait dit que s'il devait se trouver un jour sur un navire en perdition, c'est cet hymne qu'il jouerait. Il avait également souhaité qu'il soit interprété à ses propres funérailles, ce qui fut fait devant une immense foule. Wallace Hartley, en exécutant l'air de ce cantique connu, voulait certainement apporter un ultime réconfort aux passagers en péril et les inviter à se tourner vers Dieu dans leur détresse. Pour les croyants, il leur rappelait la promesse de Dieu d'être à leurs côtés jusqu'à la fin. Et pour ceux qui avaient ignoré Dieu dans leur vie, qu'il était urgent de tendre la main vers lui pour être sauvé.

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L'Eternel Dieu commanda à l'homme :

Tu mangeras librement de tout arbre du jardin ; mais de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, tu n'en mangeras pas ; car, au jour où tu en mangeras, tu mourras certainement.       Genèse 2. 16, 17.

La vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu envoyas, Jésus-Christ.       Jean 17. 3

La chute

Quand on parle de "la chute" dans le langage chrétien, on se réfère aux premières pages de la Bible, lorsque Adam et Eve ont désobéi à Dieu. Ils ont succombé à la tentation du serpent, le diable.

       Dieu avait tout créé pour le bonheur de l'homme, libre de manger de tous les arbres du jardin, à l'exception d'un seul. Si l'homme mangeait "de l'arbre de la connaissance du bien et du mal", il mourrait. Mais le diable met en doute la Parole de Dieu, en disant : "Vous ne mourrez pas !", et il ajoute : "vous serez comme Dieu" (Genèse 3. 4,5). Il laisse entendre que Dieu priverait l'homme d'être comme lui, et que, s'il désobéit, il pourrait accéder à une condition supérieure en étant indépendant de Dieu et en devenant son égal ; il se suffirait alors à lui-même et pourrait décider de ce qui est bien ou mal.

       Adam et Eve ont mangé du fruit défendu, et ce que Dieu avait dit est arrivé. Il les a chassés de sa présence, et les laissant privés de relation avec lui, mais responsables. C'est la condition qu'ils nous ont transmise.

       Mais Jésus a vaincu le diable et il a ouvert à l'homme un chemin pour retrouver une relation avec Dieu. Comme Adam a été le chef d'une lignée d'hommes éloignés de Dieu, Jésus est le chef d'une lignée de ceux qui ont la vie de Dieu, qui sont venus à lui. Jésus, par sa mort, leur a donné la vie éternelle, déjà maintenant. Comment venir à lui ? En croyant ce qu'il a dit et ce qu'il a fait. En le priant.

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Le jour du Seigneur viendra comme un voleur ; et, dans ce jour-là, les cieux passeront avec un bruit strident, les éléments embrasés seront dissous, et la terre et les œuvres qui sont en elles seront brûlées entièrement.

Fin du monde

Dans un quotidien d'avril 2012, sous le titre "La fin du monde convainc un humain sur sept", on lisait : "Près de 15% des terriens pensent faire de leur vivant l'expérience de la fin du monde". Combien de fois déjà a-t-on annoncé cet évènement, en avançant des dates qui sont toutes révélées fantaisistes ?

Qu'est-ce donc que la fin du monde ? Plutôt que de faire appel à notre imagination, voyons ce qu'en dit Dieu, le créateur de notre planète !

La Bible l'affirme : "Les cieux et la terre de maintenant sont réservés par sa parole pour le feu, gardés pour le jour du jugement et la destruction des hommes impies" (2 Pierre 3. 7). Elle décrit les différentes étapes qui précèderont la fin du monde, non seulement les aspects matériels, mais aussi le sort de tous les humains. Auparavant, il y aura des troubles et des calamités envoyés comme des jugements sur le mal. Je dois alors penser aujourd'hui au terme de ma vie sur la terre, à la mort, ou encore au jour où Jésus-Christ viendra chercher tous les croyants.

Si Dieu doit détruire notre cadre de vie, jugeant ainsi sa scène où se sont commises tant d'injustices, il jugera ceux qui en sont responsables. Mais avant d'être le juge de toute la terre, Jésus-Christ se présente encore aujourd'hui comme le Sauveur. Il ne sauvera pas la terre, qui est destinée à la destruction, mais il délivrera tous ceux qui l'acceptent comme leur Sauveur. C'est maintenant que je dois m'assurer de cette délivrance, en croyant en Jésus. Ceux qui le suivent ne sont déjà plus liés au sort du monde. Leur place est préparée avec lui dans le ciel.

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Le fils de Dieu reviendra sur la terre

Et toute langue enfin confessera

Qu'il est le Christ, à la gloire du Père

Toute sa gloire enfin resplendira !

       Ô Jésus, je te dois la vie !

       Tout ce que j'ai me vient de ton amour !

       Mais ne tarde plus, je te prie,

       J'attends le jour heureux de ton retour.

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