Vous qui passez par la souffrance,

Meurtris sous les coups du malheur,

Criez au Dieu de délivrance,

Il apaisera vos douleurs.

       Cette lumière c'est la Parole

       Du Dieu d'amour et de bonté,

       Oui c'est par elle qu'Il nous console,

       Elle seule est la vérité.

Ne restez pas dans la nuit sombre,

Accablés dans votre chagrin ;

Une lumière luit dans l'ombre

Pour éclairer votre chemin.

       Cette lumière c'est la Parole

       Du Dieu d'amour et de bonté,

       Oui c'est par elle qu'il nous console

       Elle seule est la vérité.

N'oubliez pas que Dieu vous aime

Et que pour vous, Il a donné

Pour vous sauver, Son Fils lui-même,

Mort sur la croix pour nos péchés.

       Cette lumière, c'est la Parole

       Du Dieu d'amour et de bonté,

       Oui c'est par elle qu'Il nous console,

       Elle seule est la vérité.

Apportez-Lui votre détresse,

Ne doutez pas de Son amour.

Il est fidèle à Sa promesse,

Comptez sur Lui de jour en jour.

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Nous... croyons en celui qui a ressuscité d'entre les morts Jésus notre Seigneur, qui a été livré pour nos fautes et a été ressuscité pour notre justification.       Romains. 4. 24,25

Jésus est réellement ressuscité

       C'est au lever de l'aurore

       Que les femmes ont couru

       Revoir une fois encore

       Leur Seigneur si tôt perdu.

       "Mais où donc est notre Maître ?

       Il n'est plus au tombeau"

       "Jésus vit, il va paraître",

Aux disciples dans la peine - Elles courent annoncer la victoire souveraine" Du Seigneur qu'ils sont pleuré. "Jésus vit, il va paraître, - il est ressuscité". Nous reverrons notre maître, - Il est ressuscité."

Marie pleure et veux attendre - Au sépulcre abandonné ; c'est Jésus qu'on doit lui rendre, - rien ne peut la consoler. Dîtes-moi, où peut-il être ? - L'avez-vous emporté ?" Ô Marie, voici ton Maitre ! Il est ressuscité."

       "Va, dit Jésus, vers mes frères,

        Car je monte vers mon Dieu,

        Vers mon Père et votre Père

        Vers mon Dieu et votre Dieu."

        Elle porte ce message,

        Ce message si beau,

        Qui résonne d'âge en âge,

        Immuable et nouveau.

Vous avez été rachetés... non par des choses corruptibles, de l'argent ou de l'or, mais par le sang précieux de Christ.    

1 Pierre 1.  18, 19.

Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu ; non pas sur la base des œuvres.       Ephésiens 2. 8,9.

Calvaire

Qu'est-ce que le terme "calvaire" évoque pour nous ? Un moment particulièrement douloureux de la vie ? A l'origine, ce mot désigne une colline proche de Jérusalem, appelée aussi Golgotha, sur laquelle Jésus-Christ a été crucifié dans de terribles souffrances. L'évangile rapporte : "Portant lui-même la croix, il sortit et alla au lieu dit le Crâne, appelé en hébreu Golgotha, où ils le crucifièrent et avec lui deux autres, un de chaque côté, et Jésus au milieu" (Jean 19. 17, 18). Auparavant, Jésus avait lui-même annoncé : "Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, de même il faut que le Fils de l'homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle" (Jean 3. 14, 15). Pourquoi donc Jésus, homme parfait, devait-il être crucifié ?

Devant Dieu, qui est infiniment saint, toute faute mérite un châtiment. Aucune "bonne œuvre", aucun argent, rien ne peut effacer un seul péché. Il fallait donc un "moyen de salut", quelque chose qui puisse nous rendre purs aux yeux de Dieu. Et cela ne pouvait se faire que par la mort d'une victime absolument parfaite. C'est pourquoi "Dieu...a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle (Jean 3. 16). Trois  jours après son sacrifice, Jésus est ressuscité, preuve que la justice du Dieu Saint était satisfaite.

Il fallait que Christ meurt pour payer de sa vie le prix du pardon de mes péchés, des péchés de tous ceux qui acceptent ce sacrifice d'amour. C'est ce que rappelle le Calvaire.

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Mais moi, ô Eternel, je me suis confié en toi ; j'ai dit : Tu es mon Dieu. Mes temps sont en ta main.       Psaume 31.  14, 15.

L'homme qui se confie en l'Eternel, la bonté l'environnera.       Psaume 32.  10.

Confiance

Je retrouve mes collègues à la pause café :

       - Bonjour à tous !

       - Il paraît que tu as quelque chose  à nous dire ?

       - Depuis deux semaines, des tests médicaux ont permis de diagnostiquer un cancer. J'ai dû commencer un traitement fort. Je devrai vous quitter pour quelques mois au moins.

       - Mais tu sembles en parfaite santé !

       - Un des médecins m'a dit : Savez-vous que vous avez attrapé une saleté ? Je pense que c'est une manière de voir les choses, mais il y en a une autre. Dieu a permis cela dans ma vie. Il m'aime, il veut m'apprendre quelque chose de nécessaire et qu'on ne trouve pas dans les livres, ni sur internet.

L'émotion gagne chacun... J'ajoute :

       - C'est vrai, c'est un coup dur. Mais Dieu va m'aider à le surmonter. C'est lui le grand Médecin.

La force m'a été donnée de parler à mes collègues, mais ensuite je repense à cette conversation : Suis-je inconscient ? Ou fanfaron ? Ou un arriéré qui mélange Dieu et la médecine ? Non, Dieu peut tout et il est souverain. Il décide comme il veut et personne ne peut lui dire : "Que fais-tu?".

Dans son amour, il a donné Jésus à la croix. Dieu m'a pardonné et a fait de moi son enfant. Je pense aussi à ces mille bontés du Seigneur tant de fois expérimentées dans le passé. L'avenir devant moi, je ne le connais pas, mais je sais que mon Seigneur est fidèle, qu'il m'accompagnera chaque jour, et qu'il encouragera aussi mes proches.

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Ils amène l'ânon à Jésus... et il s'assit dessus. Beaucoup étendaient leurs vêtements sur le chemin, d'autres coupaient des rameaux des arbres, et les répandaient sur le chemin... Ils criaient : Hosanna, béni soit celui qui vient au nom du Seigneur !       Marc 11.  7-9

Pilate cherchait à le relâcher... Mais ils crièrent : A mort, à mort, crucifie-le !       Jean 19  12,15

Contrastes : cortège royal et crucifixion

Une foule immense se presse  aux abords de Jérusalem. Quel est l'évènement ou le personnage qui attire tant de monde ? C'est Jésus-Christ, le Fils de Dieu, le Messie promis au peuple d'Israël. Au cours de sa vie publique, il était déjà avec discrétion, se mêlaient à la foule. Mais cette fois, Jésus prend la tête du cortège et en organise le déroulement. Il envoie ses disciples chercher l'ânon, et Jésus s'y assoit. Les disciples et ceux qui étaient là pour la fête de la Pâque Juive toute proche, étendent leurs vêtements sur le chemin, coupent des rameaux aux arbres et en tapissent le sol. C'était la coutume d'alors lorsqu'on voulait honorer un roi. Des acclamations de joie et de bienvenue s'élèvent de la foule. Une fois au moins, dans sa courte vie terrestre, Jésus Christ est proclamé roi, Messie de son peuple ! La prophétie de Zacharie (9. 9), prononcée quelques 500 ans auparavant, se réalise. Il fallait qu'il soit ainsi publiquement démontré comme le Messie. Mais le moment n'était pas venu pour qu'il règne. Il avait déclaré lui-même : " Il faut que le Fils de l'homme souffre beaucoup, qu'il soit rejeté"...(Marc 8.  31)

Peu après, Jésus sera arrêté, trahi par un de ses disciples. Jugé lors d'un simulacre de procès, il sera condamné au supplice cruel et infamant de la crucifixion. Et la foule s'écriera alors : "A mort, à mort ! Crucifie-le !" Le Fils de Dieu sera crucifié mais ressucitera trois jours après. Les plans de Dieu pour sauver les hommes, annoncés des siècles à l'avance par les prophètes, seront accomplis (Esaïe 53)

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